-A mon maître sans qui je ne serais celui que je peux être et devenir-
-Monsieur, oh grande âme,
Était enfant et pourtant
Tu as ouvert ton aile, trame
Des rimes en me portant.
Content, rencontre extraordinaire
Qui allais changer ma vie transit
Enlève les pensées ordinaires
D'un gosse rêveur, seul assis
Sur les monts haut venteux .
Apprentissage sévère ...
Incompétences du débutant, honteux
Le regard se noirci dans les mers.
Monsieur m'a tant appris
Je courrais tête nu sur les marraines
Allant chercher sans réel mépris
Mon psyché dans les grandes arènes.
Dos nu collé sur la roche froide
Il me fait découvrir le vaste infini,
Dans les anciennes odeurs diode
Fait un beau voyager l'âme assaini .
Genoux croisés d'un petit bouddha
Je buvais tes dires les yeux clos,
De ma respiration contrôlé, des fracas.
Tu m'appris à faire dans les plus grands maux.
Seul, tu m'a laisser nuits et jours durant
Dans le désert lunaire sept jours initiatiques
J'ai eu peur, j'ai pleuré, entrant
Dans le « chemin », très magiques
Comme tu le disais si bien..
Illumination, a éclairé mes nuits
Lumière inconsciente du lien.
Quand je t'es revus, je n'ai pas fuit
Stoïque, fort de cette apprentissage j'avais grandit.
De certaines lois, humaine, astral, des analogies, de la visualisation...
Je commencé seulement, dans la cinquièmes années élis
Passé à tes coté, à comprendre sans aucune abnégations.
Maintenant je vogue, sur les étendues blanches
Attendent l'heure, rigor mortis ...
-Monsieur, oh grande âme,
Était enfant et pourtant
Tu as ouvert ton aile, trame
Des rimes en me portant.
Content, rencontre extraordinaire
Qui allais changer ma vie transit
Enlève les pensées ordinaires
D'un gosse rêveur, seul assis
Sur les monts haut venteux .
Apprentissage sévère ...
Incompétences du débutant, honteux
Le regard se noirci dans les mers.
Monsieur m'a tant appris
Je courrais tête nu sur les marraines
Allant chercher sans réel mépris
Mon psyché dans les grandes arènes.
Dos nu collé sur la roche froide
Il me fait découvrir le vaste infini,
Dans les anciennes odeurs diode
Fait un beau voyager l'âme assaini .
Genoux croisés d'un petit bouddha
Je buvais tes dires les yeux clos,
De ma respiration contrôlé, des fracas.
Tu m'appris à faire dans les plus grands maux.
Seul, tu m'a laisser nuits et jours durant
Dans le désert lunaire sept jours initiatiques
J'ai eu peur, j'ai pleuré, entrant
Dans le « chemin », très magiques
Comme tu le disais si bien..
Illumination, a éclairé mes nuits
Lumière inconsciente du lien.
Quand je t'es revus, je n'ai pas fuit
Stoïque, fort de cette apprentissage j'avais grandit.
De certaines lois, humaine, astral, des analogies, de la visualisation...
Je commencé seulement, dans la cinquièmes années élis
Passé à tes coté, à comprendre sans aucune abnégations.
Maintenant je vogue, sur les étendues blanches
Attendent l'heure, rigor mortis ...